Tim Flach British, b. 1958
48 1/8 x 37 3/8 in
61 3/4 x 48 1/8 in
83 1/2 x 65 in
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(Français ci-dessous)
HYACINTH MACAW
Scientific name: Anodorhynchus hyacinthinus
Range: Bolivia, Brazil, Paraguay
IUCN Red List Status: Vulnerable
The Panatal is a vast, biologically rich tropical South American wetlands as well as the stronghold of the hyacinth macaw, which at up to 39’’ (1 meter) long is the world’s largest flying parrot. Accross its range, the bird feeds almost exclusively on the fruits of just two palms, and favors nest holes of old manduvi trees (Sterculia apetala).
The march of modern farming has damaged many nest sites, and the species was severely affected by the 1980’s pet trade. In 1990, Neiva Guedes launched the Hyacinth Macaw Project, focusing on the Panatal population. Her team installs nest boxes (and look after natural holes, too), and help instill pride ‘ownership’ among the local cattle ranchers. It’s been a huge success: the Panatal population of hyacinth macaws rose from around 1,500 in 1990 to over five thousand in 2017, and is a major draw for eco-tourists.
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FRANÇAIS
ARA HYACINTHE
Nom scientifique: Anodorhynchus hyacinthinus
Zone de présence: Bolivie, Brésil, Paraguay
Status sur la liste rouge de l'UICN: espèce vulnérable (VU)
Le Panatal est une zone humide et tropicale vaste et biologiquement très riche située en Amérique du Sud; elle est aussi le berceau des aras hyacinthes qui, avec leur un mètre de longueur, sont les perroquets volant les plus grands du monde. Ils ne se nourrissent presque exclusivement de fruits provenant de deux espèces de palmiers, et préfèrent nicher dans les trous des vieux Sterculia.
Le développement de l’agriculture moderne a endommagé de nombreux sites de nidation, de même que l’espèce fut durement réduite dans les années 1980 par la faute du commerce d’animaux de compagnie. En 1990, Neiva Guedes fonda le Hyacinth Macaw Project, en se concentrant notamment sur les populations du Panatal. Son équipe installe des boîtes de nidation, protège les trous naturels existant, et tente d’instaurer un sens de fierté chez les fermiers dont les terrains abritent des aras. Cette démarche est déjà couronnée de succès, comme l’atteste le fait que la population, alors estimée à 1500 individus en 1990, est passée à plus de 5000 en 2017, créant ainsi un pôle d’attraction pour l’éco-tourisme.extrait de "Endangered", Editions Abrams, 2017